La dernière course de Cadel Evans fut à l'image de sa carrière : discrète mais efficace. Cinquième de la Great Ocean Road Race, course qui porte désormais son nom, il restera le premier Australien à avoir gagné le Tour de France. Mais pas seulement... A presque 38 ans, le vainqueur du Tour 2011 a officiellement pris sa retraite dimanche à l'occasion de la 1ère édition de la Cadel Evans Great Ocean Road Race.
Plus qu'un jubilé, cette course a offert un vrai spectacle avec la victoire de Gianni Meersman (Etixx – Quick Step) devançant au sprint Simon Clarke (Orica GreenEdge) et Nathan Haas (Team Cannondale-Garmin) dans un groupe de 9 coureurs. Le héros du jour termine lui 5ème.
Véritable star dans son pays, Cadel Evans ne jouit pas du même statut en France. Et pourtant, jugez par vous-mêmes : 1er Australien à gagner le Tour de France, 1er Australien à devenir champion du monde de la course en ligne, 1er Australien à gagner la Flèche Wallonne... Bref vous l'aurez compris, Cadel Evans a ouvert la route à bon nombre de ses compatriotes, longtemps cantonnés au rôle de spécialistes de la piste.
Considéré par beaucoup comme un “suceur de roue” (encore faut-il être capable de suivre), l'ancien VTTiste a prouvé aux championnats du monde de Mendrisio en 2010 et lors du Tour de France 2011 qu'il savait prendre ses responsabilités.
Certes, ce n'était pas le coureur le plus spectaculaire, celui qui vous fait vous lever du canapé un après-midi de juillet après une (longue) tirade de Jean-Paul Ollivier, mais il s'est construit un palmarès d'exception.

Plus qu'un jubilé, cette course a offert un vrai spectacle avec la victoire de Gianni Meersman (Etixx – Quick Step) devançant au sprint Simon Clarke (Orica GreenEdge) et Nathan Haas (Team Cannondale-Garmin) dans un groupe de 9 coureurs. Le héros du jour termine lui 5ème.
Véritable star dans son pays, Cadel Evans ne jouit pas du même statut en France. Et pourtant, jugez par vous-mêmes : 1er Australien à gagner le Tour de France, 1er Australien à devenir champion du monde de la course en ligne, 1er Australien à gagner la Flèche Wallonne... Bref vous l'aurez compris, Cadel Evans a ouvert la route à bon nombre de ses compatriotes, longtemps cantonnés au rôle de spécialistes de la piste.
Considéré par beaucoup comme un “suceur de roue” (encore faut-il être capable de suivre), l'ancien VTTiste a prouvé aux championnats du monde de Mendrisio en 2010 et lors du Tour de France 2011 qu'il savait prendre ses responsabilités.
Certes, ce n'était pas le coureur le plus spectaculaire, celui qui vous fait vous lever du canapé un après-midi de juillet après une (longue) tirade de Jean-Paul Ollivier, mais il s'est construit un palmarès d'exception.
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